BERNARD DE LUCHET

1) << d'or à 3 huchet (ou cors de chasse) de gueules posés 2 et 1. >>
2) Variante, un cors de chasse sans attaches est un huchet.
3) << de Geules à un lion d'or, une bande d'azur brochante sur le tout. >>
Armes de Gedeon Bernard, sieur de Javersac
(Amorial Général, la Rochelle, blasons coloriés, BNF, Microfilm couleur 55)

 

D' APRES RIETSTAP, BERNARD de LUCHET et BERNARD de JAVERSAC sont de même famille, les armes sont : "D'or à 3 cors de chasse de gueules."

Les Bernard étaient en posséssion du fief de Javrezac, en latin "Javerzacum" puis en vieux français Javersac, depuis 1565 ou 1570. Il est probable que ce fief était un démembrement de celui de la Magdeleine, même paroisse, et qu'ils l'avaient acquis de BREMOND de Balanzac, qui le tenait de Jacques de la Magdeleine, son aïeul, lequel en avait rendu hommage à la comtesse d'Angoulême, le 18 Décembre 1486. En 1628, le fief de Javerzac, passa dans la famille de Céris. Les Bernard étaient allés habiter le fief de la Richarderie, paroisse de Saint-Surin, élection de Saintes.

Certain auteurs disent apparament à tors, que la famille de Bernard de Luchet, de Javersac est originaire du pays de Bigorre. Puis celle-ci vient s'installer en Angoumois. Je pense plutôt qu'il s'agit de l'inverse.

Elle comparu à Angoulême en 1789. Elle fit enregistrer à la Guadeloupe en 1816 les preuves qu'elle fit pour St-Cyr en 1773. A ne pas confondre avec une autre Famille de Luchet (paroisse du Chay, arrondissement de Saintes) qui n'a rien à voir avec celle-ci.

I Jacques Bernard, décédé avant 1588, sieur de la Grande Vigne, noble de Javersat, maître des requêtes, de la Reine Jeanne de Navarre. (A.D 16, cote N° 4 J 77) Probablement calviniste. Il avait épousé Judith ROUX, dont :

II Pierre Bernard, écuyer, seigneur de Javrezac, de Monsanson (Montanson) et des Vauzelles, fut pourvu, le 11 Juillet 1588, de l'office de conseiller secrétaire des Maisons et Couronne de Navarre. Il a fait et prêté le sermant requis et accoutumé le 22 Septembre 1588, pour ledit office. (Lettre de provision d'Henry IV, A.D 16, cote N° 4 J 77) Elu en l'élection de St Jean d' Angély. Il avait épousé le 26 Janvier 1578, Jeanne ROUX.
Il eurent pour enfants :

1 Bertrand BERNARD de JAVERSAC, naquit à Cognac, vers 1607, se fit recevoir avocat au Parlement et épousa vers 1626 Julienne PENOT, fille d'un marchand. C'est probablement vers cette époque qu'il abondonna le calvinisme et s'en fut à Paris tenter fortune dans les lettres. En 1628, il fit paraître un "discours d' Aristarque à Ncandre sur le jugement des esprits de ce temps et sur les fautes de Phillarque " où s'adressant à son compatriote Guez de Balzac il daubait le P. Goulu. Balzac et Goulu s'accordèrent pour faire bâtonner le jeune présomptueux. Dès le lendemain Balzac contait la mésaventure du provincial dans la "défaite du Paladin Javersac par les amis, alliez et confédérez du prince des Feuilles", tandis que le P. Goulu mettait au jour "Achatès à Palémon pour la défense de Phillarque" et que Bergeron, se piquant au jeu, produisait " Lettre de M. Bergeron à M. de Balzac" contre toutes les impertinences et faussetez mises par le sieur de Javersac en une lettre ..... BERNARD de JAVERSAC répondit par une seconde édition de son "Discour d'Aristarque" à laquelle il adjoignit un "Discours d' Aristarque à Callidoxc sur ce qui s'est passé entre luy et Balzac" et par le "Non passionné sur le livre intitulé La défaite du paladin Javersac". Ce fut, on le voit, un beau duel de libelles auquel se mêla également le sieur de La Motte Aigron. Il est douteux qu' après ce beau début Javersac ait continué de vivre à Paris. Il adressa à Louis XIII des odes sur la prise de La Rochelle, sur sa guérison, sur la paix de 1629, un sonnet "Sur la naissance de Louis XIV"(1638), on sait qu'il était à Cognac en 1638 et plus tard encore. Il réussit vers 1635, après un long procès, à se faire pourvoir d' un office de conseiller et secrétaire du Roi au collège de Navarre. Après la mort de sa femme, vers 1640 peut-être, il se fixa à Paris, mais revint à Cognac en 1649 et 1651. Le 13 Mai 1649, on le trouve comme parrain au baptême au Temple de Cognac de Bertand Isaac de Pontlevain, fils d'Isaac, chevalier, sieur de Saint-André. (Victor Bujeaud, p. 222) Il publia encore diverses pièces de circonstance qui, il le reconnait, ne lui assurèrent la faveur d'aucun grand personnage : L' éloge funèbre et le tombeau royal de Louis XIII, 1643 ; La gloire de la reine de Suède et sa défense, 1658 ; Le monument incomparable du grand cardinal de France, Duc de Richelieu, 1663 ; Il mourut à Paris, peu avant 1669.
2 Gédéon Bernard, qui suit.
3 Jeanne Bernard de Javrezac, qui épousa, le 25 Juin 1620, (contrat du 28 Juin 1620, passé devant Maître Merlin, notaire. (Beauchet-Filleau) Pierre LAISNE, écuyer, seigneur de la Barde, procureur au Présidial, juge sénéchal de Jarnac, fils de Léonard LAISNE, écuyer, seigneur de la Jasson, procureur, et de Philippe de MARCILLAC. Sans postérité.
4 N.., Bernard de Javrezac, elle épousa François de LA FONT, écuyer, seigneur de la Gibauderie

III Gédéon Bernard, seigneur des mêmes domaines, qui épousa, le 12 Mai 1630, célébré en l'église prétandue réformé, Suzanne de la GARDE, soeur de François de la GARDE, chevalier, seigneur de Nanteuil et de Belleneau, demeurant en son logis noble de Belleneau. Fille de défunt Izaac de la GARDE, écuyer, sieur de Nanteuil (probablement Nanteuil en Vallée, canton de Ruffec) et défunte Suzanne GUITON. François de la GARDE, a promis et constitué en dote 10 000 livres tournois, pour tout droit paternel et maternel. (A.D 16, cote N° 4 J 77) Dont :

IV Gédéon de Bernard, originaire de la ville de Pons (Charente-Maritime) né le 31 Décembre 1646 et baptisé le 21 Février 1647. Il épousa en première noce, par contrat passé au bourg de Mortaigne devant Maître Moreau, notaire royal, le 3 Octobre 1669, puis célébré le 1er Juillet 1670, Marie RODIER, fille de Daniel RODIER, et de Judith d'ORGIS. (A.D 16, cote N° 4 J 29) Devenu veuf et demeurant au lieu noble de la Richarderie, paroisse de Saint-Surin d'Uzet (canton de Cozes, arrondissement de Saintes, Charente-Maritime), il épousa en seconde noce, par contrat passé le 21 Mai 1678, au logis noble du Breuil, devant Petit, notaire royal héréditaire, Anne de la Porte-aux-Loups. (Les preuves de noblesse indique Suzanne de la Porte, fille de Jean de la Porte, chevalier, seigneur de Lignière, du Breuil, d'Authon, et de Julie de BECHET)
Gédéon, était protestant. Le 18 Novembre 1681, il fait entre les mains de Guillaume, Evêque de Saintes, dans la chapelle du palais épiscopal, abjuration de l'héresie de Calvin. (A.D 16, cote N° 4 J 77) Il acquis le 9 Janvier 1684, la moitié de la métairie appellé de "la Champaigne" situé en la paroisse et seigneurie de Saint-Surin d'Uzet, de Pierre et autre Pierre Collets marchand demeurant au faubourg de Saint-Eutrope de Saintes. (B. Brevon, notaire royal à Saintes) ( A.D 16, cote N° 4 J 77) Il fut maintenu dans sa noblesse, le 26 Décembre 1698, par Michel BEGON, Intendant de la Généralité de la Rochelle.
Le 2 Avril 1704, il lui est ordonné ainsi qu'a la noblesse de Saintonge, par le Maréchal de Chamilly, gouverneur de Strasbourg, commandant en chef pour le service de sa magesté dans les provinces de Poitou, Saintonge, Pays d'Aunis, et les iles adjacentes, de se rendre en cas d'alarme à Saujon, où elle recevra ordre de ce qu'elle aura à faire (Lettre de convocation de la noblesse) Dont :

1 Jacques Bernard, écuyer, Seigneur des Rivières, Besne, des Salles de Rioux, capitaine au régiment de Beauvoisis, frère consanguin de Daniel, qui assista à son deuxième mariage en 1717. Il demeurait en la paroisse de Saint-Seurin. Il épousa Marie JOLLIT. (Procuration du 12 mars 1734, Jousset, notaire à Saint-Surin d'Uzet) (A.D 16, cote N° 4 J 77)
2 Daniel Bernard, qui suit.
3 Jeanne Bernard, né le dernier Mars 1650.

V Daniel Bernard, écuyer, seigneur du Moulin. Il épousa en première noces, le 7 Février 1711, (Bruneteau et Rullier, notaire en Angoumois) Catherine Rondrailh, veuve de Jean de la Barrière, seigneur de Luchet. Il devint seigneur de Luchet, en Angoumois. Devenu veuf, il épousa en seconde noces, par contrat passé, le 12 Juin 1717, (Bruneteau, notaire royal) Marie VILLAIN, fille de Jean VILLAIN, et de Marie NICOLLAS. Les parents de Marie demeurait Angoulême paroisse Saint-André. (A.D16, cote N° 4 J 29)
Daniel Bernard, se plaint devant le Marquis de Charras, que le sieur de la Motte-Criteuil, s'est avisée Publier contre sa noblesse, qu'il n'était point gentilshomme, qu'il lui ferait payer la taille et rapporter ses beaux titres de noblesse, qu'il avait assez de crédit auprès des puissances et qu'il s'acrifirait 10 000 livres pour y parvenir. Justement allarmé par ces déclaration injurieuse, il est donc question de monter que la noblesse du suppliant n'est pas susceptible de Pareilles atteinte. (A.D 16, cote N° 4 J 30)
Le 29 Avril 1739, le jugement rendu par messire les Marchéchaux de France, est en faveur de M. de Luchet. Le sieur de la Motte-Criteuil est condanné à 6 mois de prison. Il sera constitué prisonnier dans les prisons Royale d'Angoulême par le premier officier de Marréchaussé requis. Il sera tenu en outre, à l'expiration de sa peine, de présenter des excuses au dit sieur de Luchet, de l'insulte qu'il lui à fait tant par écrit que de vive voix, sur le fait de sa noblesse. Le reconnaissant pour gentilshomme d'honneur et le prira d'oublié le passé. Il sera emprisonné le 15 Mai 1739. Le 15 Novembre, ayant effectué sa peine, il sera conduit en l'hotel de Bertrand de la Laurencye, marquis de Charras, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis et lieutenant de nos seigneurs les Maréchaux de France dans le ressort de Saint-Jean-d'Angély et de Cognac.... (A.D 16, cote N° 4 J 30)
Ils eurent pour enfants :

1 Charles de Bernard de Luchet. Lieutenant au régiment de la Rochefoucaud Cavalerie. Il épousa par contrat passé le 18 Mai 1749 en la Cour du Sénéchal de Bigorre, Charlotte de DUFORT, âgé de 25 ans, fille de feu Louis de DURFORT, seigneur D'ASTUGUE et de Françoise d'ANGOSSE. Sa mère Marie Villain, donna sa procuration, le même jour, à noble Joseph Gratien de THORON, écuyer, Conseiller et procureur du roi en la sénéchaussé de Bigorre, pour consentir a son mariage. (Acte passé au logis de Luchet, paroisse de criteuil, devant Joubert et Roy, notaires royaux en Angoumois. (Preuves de noblesse)
Ils eurent pour enfants :

A Judith Éléonore de BERNARD d'ASTUGUE-LUCHET, née et baptisée dans l'église Cathédrale de Tarbes (Hautes-Pyrénées) le 13 Janvier 1762. Elle fit ses preuves le 13 Octobre 1773, pour être éleve de la maison royale de Saint-Louis à Saint-Cyr. Elle en sortie le 31 Décembre 1781. (Pour en savoir plus, on peut consulter le site des Archives Départementales des Yvelines )

2 Jacques de Bernard, qui suit.

VI Jacques de Bernard, chevalier, seigneur de Luchet. Il épousa en première noce, au Temple Protestant de Cognac, le 12 Avril 1768, Marie-Françoise PYNIOT (ou PYNYOT) de GIRONDIN (ou GIRONDAIN). Puis en seconde noce, Jeanne de CLERVAUX.(ou CLERVAUD) Jacques de BERNARD, se fit représenter en 1789, à cause de son fief de Luchet, aux Assemblées de la Noblesse tenues à Angoulême. Il est dit veuf et demaurant paroisse de Créceuil (Créteuil), à l'âge de 70 ans.
Il eut du premier lit :

1 Charles-Pierre-Jacques de Bernard, qui suit.
2 Marie-Lucie Bernard de Luchet, née le 28 Mai 1771 (Victor Bujeaud, p. 385) Elle épousa, par contrat passé devant Maître Gaboriau, notaire à Jarnac, le 29 Janvier 1788, puis célébré à Cognac le même jour, Charles-Barthélémy LE COQ DE BOISBAUDRAN, (Beauchet-Filleau, 2ème Edition, T2, p. 810, indique à tors la date du 7 Mars 1791) né à Saint-Même (Charente) le 12 Septembre 1757, (Jezequel) et décédé à Périgny (Charente-Maritime) le 22 Avril 1825, (Jezequel) fils d'Etienne Jean Charles LE COQ DE BOISBAUDRAN, et de Marguerite TEMPLEREAU. Ils eurent pour enfants :

A Scévola LE COQ DE BOISBAUDRAN, né le 31 Janvier 1793. (Victor BUJEAUD, p.379 Indique de voir les Archives de la mairie de Cognac) élève de l'école Polytecnique, fera d'abord une carrière militaire jusqu'en 1816 avant de fonder une maison de commerce d'eaux-de-vie à Cognac avec son cadet Paul. Scévola sera sous la monarchie de Juillet conseiller d'arrondissement, conseiller municipal et adjoint avant d'être maire de Cognac en Novembre 1848. (Jezequel)
B Paul-Aimé LE COQ DE BOISBAUDRAN, (1799-1870) (Jezequel) marié à Alexandrine JOUBERT, dont postérité.

3 Marthe de Bernard, née le 10 Août 1773. (Victor Bujeaud, p. 385) (son acte de mariage indique le 6) Elle épousa, à Angoulême, le 11 Vendémiaire an 5 (1797), devant Louis Félix, officier public, Charles Le Coq de Boisbaudran, (A.D 16, cotes N° 4 J 30 ; 4 J 18) né à Cognac, le 11 Juillet 1766. Agriculteur, Lieutenant colonel en second du troisième bataillon de la Charente, demeurant en la commune de Cognac, fils de feu Etienne Jean Charles Le Coq, agriculteur, et de vivante Marguerite TEMPLEREAU. Le contrat fut passé probablement par Maître Pierre DUVAL, notaire à Angoulême, présent comme témoin. (A.D 16, cote N° 4 J 18)

Puis du second lit

4 Henriette-Modeste-Aimée de Bernard, née le 16 Janvier 1775. (Victor Bujeaud, p. 385) Elle épousa Jean Pierre Nouel. Devenue veuve, elle est désigné légataire universel avec sa soeur Marie Mathe, par le testament de son frère François. (A.D 16, cote N° 4 J 30) Dont :

A Paul Emile Nouel, nommé dans le testament de François (A.D 16, cote N° 4 J 30)

5 François de Bernard, né le 28 Janvier 1776. (Victor Bujeaud, p. 385) a dû se marier à Vélines (Dordogne) en 1818. (P. BUREAU, p. 303) Probablement lui qui fut l'auteur de l'appel à tous les membres de l'église évangélique de France, tant les pauvres que les riches (en faveur de l'oeuvre du ? Sou protestant ?) Paris : imprimerie de Pommeret et Guénot (1847) B.N.F, site de Tolbiac, rez-de-jardin, magasin, cote N° D2 - 5895.

François BERNARD, chevalier de Luchet. Il est dit demeurant au logis de Langlée, commune de Marcillac Lanville, puis propriétaire sans profession, demeurant à Angoulême. Il épousa Marie Elisabeth BELRIEU, fille de Pierre BELRIEU, et de Marie MERIC. Celle-ci lui donne procuration, par brevet passé en l'étude de Maître Jean François ANDRE, notaire à Aigre, le 23 Octobre 1828, pour la représenté, dans le procès devant le tribunal civil de Bergerac, pour les biens de la succession de sa tante.
Le 22 Avril 1830, devant Maître Jean LESPINASSE, notaire à Bergerac (Dordogne) (A.D 16, cote N° 4 J 30) Marie Elisabeth, partage avec Madelaine Marguerite et Elisabeth Suzanne MERIC, ainsi que Dame Suzanne MERIC, épouse de M. Alexis BERNIGAUD DE GRANGE, les biens de la succession de sa tante, Marie MERIC, décédée à Bergerac, le 18 Juillet 1827, sans disposition.

François Bernard, chevalier de Luchet, épousa Anne Laure HOPMAUN. Devenu rentier, demeurant 19, place de l'école de Médecine Paris (11e) il fit son testament olographe, le 3 Juin 1852. (A.D 16, cote N° 4 J 30) au profit de ses deux soeur, Marie-Marthe et Henriette-Modeste-Aimée.

VII Charles (Samuel) Pierre Jacques DE BERNARD DE LUCHET, est né le 1 Avril 1769 au Château de Luchet. (Criteuil, Charente). Baptisé le 10 Avril 1769, au Temple Protestant de Cognac. Il fit en 1783 des preuves de Noblesse pour être admis à l'Ecole Militaire. Il alla plus tard se fixer aux Antilles, s'y maria et fit enregistrer, le 7 Janvier 1816, ses titres de Noblesse à la Guadeloupe que son aieul fit pour Saint-Cyr en 1773. Il décéda, le 21 Mai 1842, place du Champ d'Arbaud à Basse-Terre (Guadeloupe), à l'âge de 73 ans
Charles se maria trois fois. Il épousa en première noce, Elisabeth LABAT de VIVENS. Puis en secondes noces à Jarnac, le 10 nivôse an 8, avec Jeanne-Julie-Marguerite FE. Enfin en troisième noces, le 18 décembre 1841, place du Champ d'Arbaud à Basse-Terre (Guadeloupe) Marie ALLE, née vers 1796 à Basse-Terre (Guadeloupe) (P. Bureau, p.303 indique née de père et mère inconnus) Elle est décédée le 6 juillet 1871, 11 rue Galisbé à Basse-Terre (Guadeloupe)

Ils eut pour enfant du 2ème lit :

1 François de Bernard de Luchet, né et décédé à Angoulême en l'an 10. (P.BUREAU, p. 303)

Ils eut pour enfants du 3ème lit :

1 Louise Elisabeth de Bernard de Luchet, née le 6 Juin 1817, rue de la fontaine Marine à Basse-Terre (Guadeloupe) décédée 11 rue neuve du Galisbé à Basse-Terre (Guadeloupe) le 1er Décembre 1865, à l'âge de 48 ans. Elle épousa à Basse-Terre, le 5 Février 1838, Louis Etienne Alexis Ulric DEJEAN (1816-1858) Ils ont eu les enfants suivants :

A Charles Louis Marie Ulric DEJEAN, né en 1838.
B Euphrasie Luce Gabrielle DEJEAN (1841-1842)
C Joseph Emmanuel Allay DEJEAN (1842-1871)
D François Paul Emile DEJEAN (1843-1865)
E Louis Bernard Alexis DEJEAN (1844-1871)
F Victor Hubert Saint-Rémy DEJEAN, né en 1846.
G Heny Louis Etienne DEJEAN (1849-1916)
H Alexandre Louis Hiypolite DEJEAN (1851-1916)

2 Luce Françoise Elvire de Bernard de Luchet, née le 16 novembre 1822 à Basse-Terre, Guadeloupe au Champ d'Arbaud. Sans profession Elle est décédée après 1868. Luce épousa, le 20 février 1843 à Basse-Terre (Guadeloupe) Georges Victor Alexis Ulric DEJEAN, né le 17 juillet 1818 à Basse-Terre (Guadeloupe), rue de l'arsenal de la Nouvelle ville. Il est décédé le 28 Avril 1856 à Basse-Terre (Guadeloupe) Ils ont eu les enfants suivants :

A Georges Charles Victor DEJEAN, né le 31 mars 1844 à Basse-Terre, 11 rue Neuve.
B François Alexis Ernest DEJEAN, né en 1846.
B Elmire Françoise Marthe DEJEAN, née le 1 août 1854 à Basse-Terre, 11 rue du Champ d'Arbaud.

Notes isolées sur la Branche de Luchet

Jean de BERNARD, chevalier de Luchet. Le 26 Octobre 1746, Capitaine commandant d'une compagnie de nouvelle levée dans le régiments d'infanterie de Beauvoisis. Capitaine de Grenadiers. Le 6 Août 1758, sergent Majors du régiments d'infanterie de Beauvoisis. Le 12 Juin 1759, lieutenant colonel du régiments de Beauvoisis. Le 4 Août 1771, lieutenant, colonel du regiment provincial de la Rochelle, qui doit être formé. Le 1er Mars 1780, brevet de Brigadier commandant du bataillon de garnison d'Aunis. Puis le 1er Janvier 1784, il recu un Brevet de Maréchal de Camps. (A.D 16, cote N° 4 J 30)

 

 

Historique du Logis de Luchet (Criteuil La Magdeleine)

Les quelques très rares documents répertoriés sur l'histoire du Manoir de Luchet signalent qu'en 1488, le Seigneur de Luchet en Criteuil arrentait quelques terres en sa possession à Lignières. Sur un codicille de 1578, Didier Méhée et Marguerite de Mendosse, Seigneur et Dame de l'Estang font signer "pour faire foy", Louis de la Porte, écuyer, sieur de Florac, demeurant au lieu noble de Luchet. A la fin du XVIème siècle, les lieux appartiennent à Jacques Vigier. Avant que Lignières n'ait un Temple, en 1630, les Protestants se réunissent à Luchet, où ils viennent s'édifier et faire baptiser leurs enfants. Avant la fin du XVIIème siècle, Luchet est entre les mains des Saint-Gelais. Le 8 février 1893, Jean de Saint Gelais de Lusignan, chevalier marquis de Saint Gelais, Montchaude, Le Breuillat, Les Chatelars, Luchet et autres places, vend la seigneurie et le logis de Luchet à Jean de la Barrière, président au siège présidial d'Angoumois et à Dame Catherine Mondrail (Rondrailh) son épouse, pour la somme de 20500 livres. Ce Jean de la Barrière occupe déjà les lieux depuis 1676 et a fait faire de nombreux travaux dans les bâtiments. En 1732, Daniel BERNARD, écuyer, est sieur de Luchet. Le 15 avril 1752, Jacques BERNARD, écuyer, sieur de Luchet, rend hommage à la Comtesse de Plas de Lignières. Ce Jacques BERNARD (ou de Bernard) figure parmi les membres de la noblesse d'Angoumois ayant participé aux assemblées générales et particulières du 16 mars au 1er avril 1789.

Le logis de Luchet passe pour avoir été comtemporain du Breuil de Bonneuil et d'une architecture similaire. Il a aujourd'hui complétement disparu. Seule une tour de l'enceînte subsiste ainsi que de nombres pierre réutilisé dans les construction.


On trouve également sur la commune de Lignières-Sonneville (Charente), un Château de Luchet, de la renaissance, qui probablement n'a rien à voir avec cette famille. A ne pas confondre donc !

 


Notes Isolées


N., Bernard de Luchet, Chevalier des ordre Royal et millitaire de Saint-Louis, en 1740.

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Bernard de Javrezac: "Cognac en 1625" 24 pages (Pierre Martin-Civat, B.M de Cognac, cote N° CH BR P 113)

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Marie BERNARD de JAVERSAC, qui épousa Isaac Pontlevain, seigneur de Saint André dans l'élection de Cognac, Boisroche et autres places. Dont :

1 Bertrand-Isaac de Pontlevain, baptisé à Cognac, le 13 mai 1649. Son parrain fut Bertrand Bernard de Javersac, auteur de nombreuses poésies et sa marraine demoiselle Suzanne de Pontlevain, ce fut le pasteur Lagravières qui fit le baptême, car les Pontlevain et les Javersac étaient protestant.

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Jean BERNARD DE MONTSANSON, qui épousa à Saintes, le 19 Décembre 1768, Marie d'AUNIS DE MEURSAC, fille de Louis d'AUNIS DE MEURSAC, écuyer, seigneur de Vignand, et de Marie Berthomée PISSONET DE BELLEFONS (Louis AUDIAT, p. 44, 397)

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Joseph BERNARD de MONSANSON, décédé avant 1776, (nommé de le contrat de mariage de son fils) Peut-être le même que celui qui à obtenu des lettres de grâce en Octobre 1721 ? (Rien pour l'instant permet de l'affirmée!) Epoux de Catherine GRIFFON, dont :

Alexandre BERNARD de JAVREZAC, seigneur de Javresac, Vicomte de Monsanson, décédé en 1830 à Chalons sur Saône (Franche Comté) (Benoît GILLES, dit qu'il s'agit du 29 Floréal an II, à Houlette, canton de Jarnac) Aubergiste. Il épousa, par contrat passé à Montigné, le 20 Mai 1776, devant Maîtres Briand et Joubert, notaire, (Benoit GILLES) Marie Rose de BARBEZIERE, née à Montigné, le 16 Août 1750, (Benoît GILLES) fille d'Etienne de BARBEZIERE, né à Montigné en 1711 et décédé à Montigné le 14 Novembre 1765. Ce dernier avait épousé à Courbillac, le 7 Janvier 1733, Marie-Anne de LAISNE DE FRANCHEVILLE. Marie Rose décéda à Rouillac, le 21 Septembre 1827. (Beauchet-Filleau, 2ème Ed. T1) Dont :

1 Jean Alexandre BERNARD de JAVREZAC, qui suit
2 Pierre Philippe BERNARD de JAVREZAC, né à Pérat (Houlette) le 27 Mars 1786.
3 Marie Roze BERNARD de JAVREZAC, née à Pérat (Houlette) le 22 Février 1790. Elle épousa, le 23 Février 1811, Jean François de La HAYE, ingénieur géomètre de sa majesté l'Empereur.

Jean Alexandre BERNARD de JAVREZAC, né à Pérac (Houlette) le 4 Mars 1784. Il épousa à Rouillac, le 20 Floréal an X, Marie Thérèse RABY, née le 21 Juin 1788 (Benoît GILLES) et décédée le 28 Juin 1879. (Benoît GILLES) Marie Thérèse RABY, épousa en seconde noces, à Vaux-Rouillac, le 18 Mars 1837, Charles. FAIRAUD. Il décéda à Pérac (Houlette) le 9 mai 1833. (Benoît GILLES) Dont :

1 Rose Marie Thérèse BERNARD de JAVREZAC, qui suit.
2 Marie BERNARD de JAVREZAC, née à Rouillac, le 3 Juin 1806.
3 Alexandrine BERNARD de JAVREZAC, née à Rouillac, le 2 Août 1810, et décédée à Agoulême, le 19 Avril 1859. Elle épousa à Burie, le 5 Septembre 1843, Jean POITEVIN.
4 Louis BERNARD de JAVREZAC, né à Rouillac, le 24 Novembre 1811.
5 Marie Eléonore BERNARD de JAVREZAC, née à Rouillac, le 6 Novembre 1814. Décédée, à Châteauneuf, le 21 Décembre 1894, à l'âge de 80 ans.
6
Marie BERNARD de JAVREZAC, né à Rouillac, le 14 Novembre 1816. Elle décéda à Rouillac, le 7 Novembre 1819.

Rose Marie Thérèse BERNARD de JAVREZAC, née à Rouillac, le 11 Juillet 1804. Elle épousa à Rouillac, le 3 Septembre 1823 Jean TOUZET (1796-1863) Elle décéda à Vaux-Rouillac, le 15 Décembre 1879, à l'âge de 75 ans. Dont :

1 Marie Rose (dite Héloise) TOUZET, née à Rouillac le 7 Septembre 1824, marié à Rouillac le 25 Juillet 1855, avec Pierre François dit "Eugène" FAURE, né le 13 Novembre 1818 à Aigre (Charente) et décédé le 28 Février 1893 à Jarnac (17) à l'âge de 74 ans. Marie Rose fut institutrice. Celle-ci décéda à Saint-Macaire (Gironde) le 5 Mai 1904, à l'âge de 79 ans

Les quatres Personnages citez au-dessus sont apparenté à la famille de François MITTERAND, politicien, Président de la République Française de 1981 à 1995.

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BERNARD de JAVREZAC (1776-1879) Chalons sur Saône. (Franche Comté)

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Lettres de grâce pour le sieur de JAVREZAT (Octobre 1721)

" Nous avons reçu l'humble supplication de Joseph BERNARD de Javrezat de Montsanson, écuyer, capitaine au régiment de la Rimbaudière, faisant profession de la religion catholique A. et R., prisonnier ès prisons d'Angoulême, contenant que le 3 Mars 1707, le suppliant partit du lieu du Breuil en Angoumois avec le sieur de la PORTE de Chastillon son cousin, et deux valets à leur suite pour aller à Mortaigne ; et à quelque distance du Breuil, ils trouvèrent sur le chemin de Saint-Cybardeaux à Cognac, le nommé GANAN que le suppliant avait enrôlé quelques jours auparavant et qu'il voulut obliger à le suivre. Sur la résistance que fit GANAN et au bruit qui s'éleva dans la campagne, le père de GANAN et les nommés BOISRAME, BOUCHERIE, GONTIER et BILLOT père et fils, et quantité d'autre habitants des villages du Breuil et de Villers s'assemblèrent et accoururent armés de fourches et de bâtons. Le suppliant qui vit que dans un moment il allait être enveloppé, aussi bien que le sieur de Chastillon et les deux valets qu'ils avaient à leur suite, se mit en défenses et se persuada que le pistolet à la main il empêcherait d'avancer la troupe qui les avait presque déjà joints. Mais pendant qu'il faisait feu d'un côté, il vit de l'autre le nommé Jean BOISRAME qui s'était détaché de la troupe et qui se mettait en devoir de frapper par dernière le sieur de Chastillon, d'une fourche qu'il avait à la main. Le suppliant crut qu'en tirant comme il fit son pistolet sur BOISRAME il garantirait ledit sieur de Chastillon du danger qui le menaçait. Cependant, et malgré le coup que BOISRAME reçu, il déchargea de sa fourche sur la tête dudit sieur de Chastillon et le fit tomber par terre. BOISRAME frappa même une seconde fois le sieur de Chastillon lorsqu'il fut à terre et acheva de le tuer avant que lui-même tombât du coup que lui avait porté le suppliant. Dans le douleur dont celui-ci fut pénétré quand il vit mourir le sieur de Chastillon, il s'abandonna à la troupe qui l'environnait. Une partie le saisit, pendant que d'autres le frappaient à coups de pierre. Et ayant été conduit au bourg de Villers, il fut enfin tiré des mains de cette troupe par le curé de Rouillac et par d'autres personnes qui furent touchées de l'état où il se trouvait après les coups qu'il avait reçus. Sur les plaintes qui furent portées au vice-sénéchal d'Angoumois et au lieutenant-Criminel... le suppliant fut condamné à mort par jugement de contumace rendu le 17 Novembre 1708. Depuis lequel temps, il n'a pas discontinué de servir en qualité de capitaine au régiment de La Rimbaudière. Mais, ayant fait un voyage en Saintonge, au mois de Mai dernier, il y fut arrêté. Et se trouvant aujourd'hui détenu dans les prisons d'Angoulême, il a été conseillé de recourir aux lettre de grâce, rémission et pardon qu'il nous a fait très humblement supplier de lui accorder" ... (A.D Charente, cote N° B1-1029)
Interrogé le 18 Juin 1721 à la prison d'Angoulême, il répond qu'il a été arrêté par ordre de l'intendant de la Rochelle, qu'il est resté 13 jours dans les prisons de cette ville, puis conduit à Angoulême. N'ayant pas encore obtenu ses lettres de grâce, il n'hésite pas à dire que le jour de la mort de BOISRAME il se trouvait dans la ville de Strasbourg, en garnison, servant dans le régiment de la reine Infanterie, et qu'il ne pouvait être ce jours-là dans la paroisse de Rouillac. Ce n'est que le 23 Octobre, ayant alors obtenu ses lettres de grâce, qu'il consent à dire la vérité et reconnaître son crime. Quant à ceux qui l'avaient attaqué, ils avaient depuis longtemps "été renvoyés de l'accusation contre eux intentée, sans dommages-Intérêts ni dépens". Il s'était donc écoulé plus de 13 ans entre la mort de BOISRAME et l'obtention de ces lettres de grâce. La veuve de BOISRAME s'était remariée. Plusieurs témoins de cette affaire, en 1707, ne purent être entendus par les juges. Certains étaient morts ; d'autres avaient disparu sans qu'on puisse les retrouver ; d'autres avaient fourni des certificats médicaux attestant qu'ils ne pouvaient quitter leurs domicile ; un autre était absent depuis huit jours, étant sur la route de Limoges et sa femme ne sachant point quand il serait de retour... De toute façon, rien ne pouvait empêcher l'entérinement des lettres de grâce.

(Bulletin AGC N° 94, p. 13 "Lettres de grâce ou de rémission accordées par le Roi" causerie faite à la réunion du 17 Juin 2002 par Gabriel Delâge.)

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Hôtel Particulier BERNARD de JAVREZAC (Cognac)

Hôtel particulier BERNARD de JAVREZAC, rue Madelaine à Cognac. Quelques éléments attestent le XVIe siècle : une haute tour surmontée d'une sorte de guérite à coupole, une grosse gargouille sculptée sur sa façade, représentant un aigle sur une tête d'homme barbu. (Guide des Châteaux, Logis et anciennes demeures de la Charente. p. 94)

 

Sources :
GRAND ARMORIAL DE FRANCE -Tome VII-Supplt. A/Z (André Pierre Frantzen)
DICTIONNAIRE DES FAMILLES FRANÇAISES.
ROMAN D' AMAT : DICTIONNAIRE DE BIOGRAPHIE FRANÇAISE, TOME 6.
Colonel ARNAUD : REPERTOIRE DE GENEALOGIES FRANÇAISES IMPRIMEES
ORDRE ROYAL ET MILITAIRE DE SAINT-LOUIS : Recueil de tous les membres, volume I & II de Jean-François-Louis d'Hozier, Paris (1817) - T II, p. 378

Beauchet-Filleau : Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou, 2ème Edition, 1888-1979. T2, p. 810.
Borrel d'Hauterive 1870.
Baron Woëlmont de Brunage : La Noblesse Française Subsistante. Tome 2, p. 185, 186.
Bruno SUPULCHRE : Château, Logis et Manoirs de la Charente - Paris Librairie Bruno SEPULCHRE (1993), p. 107
Archives Départementales des Yvelines : Les demoisselles de Saint-Cyr, maison royale d'éducation 1686-1793 Somogy Editions d'art (1999) p. 297
DEBUISSON : Armorial des principlales Maisons et Familles du royaume, particulierement de celles de Paris et de l'Isle de France - (1757) p. 54 (N° 153)

Victor Bujeaud : Chronique protestante de L'Angoumois - Péronnas, Les Edition de la Tour de Gile (1998) page 79, 80, 222, 363, 365.
Saffroy S 36239, S 36240, S 36241.
Abbé P. BUREAU : Liste des membres de la noblesse d'Angoumois - Angoulême (1969) p. 260, 302, 303
Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux - Paris in-8 1976, 1er Serie (1864-1940), année 1902, p. 626
Gérard BACHELIER : Armorial Mérignaçais, Généalogie Pontlevain
Louis AUDIAT : Deux victimes des Septembriseurs, Pierre-Louis de la Rochefoucauld, dernier évêque de Saintes et son Frère, évêque de Beauvais. - Lille-Paris (1897) p. 44, 397.
Jean JEZEQUEL : Grand notable du premier empire (Charente) Edition du CNRS (1986) p. 65, 66, 67.
Bulletin AGC N° 94, p. 13 "Lettres de grâce ou de rémission accordées par le Roi" causerie faite à la réunion du 17 Juin 2002 par Gabriel Delâge.

 

POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS OUVRAGES A CONSULTER :

Jules PELLISSON : Sur la famille Bernard de Javersac - Publié dans le bulletin des Archives Historique de Saintonge Aunis 1880 / 82 p. 253.
Jules PELLISSON : Le poête Bertrand Bernard de Javersac et sa famille - Publié dans le bulletin des Archives Historique de Saintonge Aunis, tome XIX, 1889, p. 372.
P.L Pandin de Lussaudière : Les Bernard de Javersac, le poête Bertrand Bernard de Javersac et sa fille - Publié dans le bulletin des Archives Historique de Saintonge Aunis, tome XX, (1900), p. 35
Revue de Saintonge et d'aunis, Saintes (1876-1955) 49 volumes IN-8 (voir les années 1899 et 1928-32)
Léonard Callandreau : l'Ordre de la Noblesse de l'Angoumois en 1789. (3 volumes) Tome 1. p. 173, 174.
Pierre BAYLE : Dictionnaire Historique et Critique - Asterdam (1734) 5ème Edition, tome 2, Page 836.
(B.M Lyon, 5ème étage, salle fond ancien, cote N° USZ 70B)
Fonds LE COQ DE BOISBAUDRAN (A. D 16, série J )


Dernière mise à jour, le lundi 7 février, 2005

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