ROBIN

"de Sable à deux tours d'argent maconnées de sable"
supports : deux dragons ailés

I N..., ROBIN, dont :

1 Hector ROBIN, qui suivra
2 Jean ROBIN, qui suit

Branche des Ardillers

II Jean ROBIN, est reçu conseiller par le décès de N..., le 24 Mai 1574. N..., est reçu par la mort dudit Robin, le 2 Janvier 1577. Marié avec Martialle de la Touche. Dont :

III Guillaume ROBIN, marié avec Jeanne Le Comte, fille de Jean Le Comte, écuyer, Maréchal des logis du Duc d'Alençon (frère de Charles IX et d'Henry III). (Jérôme POUSSIELGUE) Enquète par lequelle il paraît que Guillaume est fils de Jean, le 18 Août 1631.

1 François ROBIN, qui suit
2 Jean (ou Hélie) ROBIN, sieur de Plessac. (Balzac, Charente) demeurant à Soyaux. Il fut, comme premier Pair, reçut en l'office de Conseiller vacquant par le décès de Ayméric PASQUET, écuyer, sieur de l'Age-Baston. (Vigier de la Pile, p. CXXXIII ; Sanson, p. 135)

1 Anne ROBIN
2 François ROBIN

II Hector ROBIN, Marchand Bourgeois d'Angoulême, demeurant à Angoulême, dans la rue des trois Notre Dame, auprès de Jean ROBIN, apothicaire, dont il était probablement selon Abbé Mondon le frère. (Jérôme POUSSIELGUE) Il épousa Marie RAMBAUD.

1 Pierre ROBIN, auteur de la Branche de Cognac, qui suivra.
2 Etienne ROBIN, qui suit.
3 Gabrielle ROBIN, elle épousa par contrat du 23 Juillet 1574, Pierre Mathieu BARRAUD, notaire Royal à Chazelle (Charente)
4 Marguerite ROBIN, elle épousa par contrat du 11 Juillet 1574, Jean JOLY, licencié en droit, juge de Tusson et du Vivien-Jussard.
5 Denis ROBIN.

III Etienne ROBIN, Marchand à Angoulême. Il épousa Françoise de TERRASSON. Dont :

1 Jean ROBIN, qui épousa en 1604, Jeanne MENARD.
2 Ezéchias ROBIN. Dont :

IV Ezéchias ROBIN. Dont :

V Pierre ROBIN, marchand à Angoulême, qui épousa Jeanne MERCIER. Dont :

VI Félix ROBIN, qui fut inhumé dans l'église de Chazelles, le 19 Mai 1766, âgé de 83 ans. Il épousa par contrat du 18 Janvier 1713, Marguerite de la QUINTINIE, fille de Pierre de LA QUINTINIE, et de Marie ROUX. Dont :

1 Abraham François ROBIN, né le 25 Août, et baptisé à Chazelle le 1er septembre 1716. Il fut imprimeur à Angoulême, et occupa les charges de premier échevin. du corp de ville d'Angoulême, et grand juge de la juridiction consulaire en 1760.
2 Andrée Thérèse ROBIN.
3 Marie ROBIN.
4 Marguerite André ROBIN, né et baptisée le 10 Novembre 1736.
5 Léonard ROBIN, né en 1748, sieur du Terme, il décéda à Chazelles le 14 Novembre 1790.

Branche de Cognac

 

III Pierre ROBIN, Notaire Royal à Angoulême. Il épousa par contrat passé devant Mousnier, notaire le 6 Décembre 1581, Anne Laisné, fille de Noble Philippe Laisné, avocat du roi au siège de Cognac, seigneur de la Couronne, de la Barde, de Francheville, et de Perette BERNARD.

IV André ROBIN, né vers 1585, notaire Royal au Prunelas. Il épousa en première noce Guillemette NOUVEAU, puis en seconde noces Marie BONNET

V André ROBIN, né en 1647. décédé le 16 Octobre 1723, sieur des Brandes, notaire royal et Apostolique à Merpins. Procureur d'office des juridictions d'Ars et de la Garde. Dont André, qui suit.

VI André ROBIN, né à Merpins le 10 Octobre 1679, et décédé à Cognac le 27 septembre 1745. Procureur au siège et élection de Cognac. Il épousa Elisabeth FOURNIER, fille de Maître Thomas FOURNIER, de Saint-Laurent, et de Elisabeth FOUCAUD.

VII Ambroise ROBIN, né à Cognac, le 6 Janvier 1711. Décédé en 1780, Notaire Royal et procureur aux sièges et élection de Cognac. Dont :

1 Guy ROBIN, marchand
2 Amboise ROBIN-BEAUREGARD, qui suit

1 André ROBIN-BEAUREGARD
2 Ambroise ROBIN-BEAUREAGARD, qui suit.

1 Ambroise Salomon ROBIN, né le 15 septembre 1780 et baptisé le 16 à Cognac.
2 Paul Jacques Théodore ROBIN-BEAUREGARD, qui suit.
3 Marie-Charlotte Victoire ROBIN, née le 25 Octobre 1783 et baptisé le 26. Ses parrain et marraine furent Issac Jean Daniel DANIAUD et Charlotte DANIAUD. Elle décéda à Cognac le 25 Janvier 1853 à l'âge de 78 Ans et 3 mois.
4 Marie-Anne Scholastique ROBIN, né le 3 août 1787à Cognac. Ses parrain et marraine furent Paul Jacques Théodore ROBIN et Marie Charlotte Victoire ROBIN.
5 Henry ROBIN, procureur au siège Royal de Cognac.
6 Georges ROBIN, né le 1er Janvier 1800.
7 Edouard ROBIN, négociant à Cognac. Il épousa N..., dont il eut

a) N.., ROBIN, fille qui épousa Amédée CALLANDREAU.
b) Victor Alexandre ROBIN, né au Château d'Uffaut, le 4 Avril 1822. Maire de Cognac de 1870 à 1874.

8 Marie Rose Lucy ROBIN.
9 Victoire ROBIN.
10 Marie Clémence ROBIN.
11 Mathilde ROBIN.

X Paul Jacques Théodore ROBIN-BEAUREGARD, Juge de paix du canton de Jarnac, né à Cognac le 25 Janvier 1782, mort au Logis de Lafont, le 6 Août 1859. La sépulture familiale se trouve au cimetière de Mérignac. Le 21 Juin 1860, le partage du domaine de Lafont, fut réalisée devant maître Rambaud, notaire (A.D 16, cote N° 2E 20658) entre André Jules ROBIN, négociant à Cognac, Melle Marie Louise ROBIN, majeure, sans profession, demeurant sur le dommaine de lafont, et Mr François Jules JOLAIN, propriétaire, époux de Madame Françoise Joséphine Lacroix Durepaire soeur utérine de M et Melle ROBIN, demeurant au lieu de Thernes, paroisse de Fouquebrune.
Il avait épousé Marie Marguerite Victoire GUILLET des Fontenelle, née le 4 Avril 1786 à la Fontenelle (Cognac), baptisée le 5 Avril 1786. (Jarnac de Gardépé, p. 201, 202) Fille de Philippe André GUILLET des Fontenelles décédé le 20 Fructidor an XI à Merpins et de Marie Marguerite GUILLET décédée à Lafont. Veuve, marié en première noce avec le sieur Gabriel Lacroix Durepaire de Mérignac, propriétaire, âgé de 27 ans, demeurant à la Poignerie, commune de Marsac (Charente) (Registre d'Etat-Civil de Mérignac) Elle décéda au Logis de Lafont le 3 Juin 1864. Sa sépulture se trouve au cimetière de Mérignac.

Marie Marguerite Victoire, eut du premier lit :

1 Françoise Joséphine Lacroix Durepaire, qui épousa François Jules JOLAIN, propriétaire.
2 N..., Lacroix Durepaire, décédé avant le 21 Juin 1860.

Puis du 2ème lit :

1 André (Alias Jules) ROBIN, qui suit.
2 Melle Louise Pauline ROBIN-BEAUREGARD, née le 24 Avril 1819, décédée le 4 Septembre 1867. Sa sépulture se trouve audit cimetière de Mérignac.
3 Melle Gabrielle Juliette ROBIN, née le 12 juillet 1820, décédée le 4 Décembre 1855. Sa sépulture se trouve audit cimetière de Mérignac.

XI André (Alias Jules) ROBIN, né le 2 décembre 1815 à Mérignac. Il était le fondateur en 1850, avec M. Edmond JAULIN, de l’importante maison de commerce qui porte son nom.

Il appartenait à l’une des plus anciennes et plus considérées familles de la région, où elle existe depuis un temps immémorial et fournit, dès le commencement du 18^e siècle jusqu’à la Révolution, les Procureurs Royaux au siège de Cognac.M. Jules Robin siégea pendant plus de vingt ans (1857-1878) au Tribunal de Commerce de Cognac, puis fut Vice-Président de la Chambre de Commerce de Cognac dont il était l’un des fondateurs.Il joignait à une grande bonté une activité sans relâche ; sous sa direction et celle de ses collaborateurs, sa maison de commerce se plaça rapidement au premier rang. M. Jules ROBIN, décéda dans sa propriété de Lafont, le 10 juillet 1882.
Il épousa Anna GAUTHIER, dont :

1) Armand ROBIN, qui suit
2) Julia ROBIN, née à Cognac, le 15 Mars 1850, et décédée au Grand Breuil à Cognac, le 18 Novembre 1928. Elle épousa en la mairie de Cognac le 15 Avril 1871, Henri Germain, qui suivra

XII ARMAND ROBIN, né à Cognac le 7 février 1854. Dès l’âge de 10 ans, il fut placé pour son instruction dans la pension Keller, à Paris, institution Protestante dont les élèves suivaient comme externes les cours du lycée Saint-Louis. Il y fit de brillantes études et fut à plusieurs reprises lauréat au Concours général.

Pendant les vacances scolaires, il éprouvait un vif plaisir à se rendre chez ses grands-parents, au logis de La font, situé à quelques kilomètres de Jarnac oû son grand-père avait été juge de paix. Aussi conserva-t’il toute sa vie un attachement de prédilection pour ce vieux logis qu’il avait fait réparer et dont il avait vu grandir les ombrages.

Ses études classiques terminées, il alla en Allemagne et en Angleterre compléter sa connaissance des langues étrangères et acquérir ce sens des affaires indispensable à tout jeune homme qui se destine au haut commerce Cognaçais.

Dès son retour, il fut associé à la maison de son père. Il contribua, par son application, son sens judicieux, la conscience et l’affabilité qu’il apportait dans ses relations, à maintenir et à développer la réputation de cette maison.

En 1880, il épouse la fille du Pasteur Delmas de Bordeaux, dont le frère fut armateur et député de La Rochelle.

A la mort de son père survenue en 1882, il dirige la maison Jules Robin & Co de concert avec MM. Jaulin ses associés. Bientôt distingué par ses concitoyens, qui voient en lui un esprit libéral et bien informé, il est appelé à de nombreuses fonctions, conseiller municipal, conseiller d’arrondissement, membre de la Chambre de Commerce, membre de la Commission administrative de l’Hospice, délégué cantonal, vice-président de la Société des industriels et Commerçants, etc... La distinction, le dévouement avec lesquels il s’acquitte de ces diverses fonctions, le désignent pour être le porte-drapeau du Parti Républicain aux élections législatives de 1893 et à celles de 1898. Il s’en fallut de bien peu qu’il ne le conduisît à la victoire dans un arrondissement où depuis de nombreuses années, M. Cuneo d’Ornano se flattait, non sans quelque raison, de régner en maître. En 1893, M. d’Ornano n’était élu qu’à 34 voix de majorité.

En 1896, le Gouvernement de la République le nomma Chevalier de la Légion d’Honneur.

Dès ce temps-là, plusieurs s’étonnaient qu’au lieu de vivre tranquille, comme il l’aurait pu, en dehors de ses occupations commerciales, il acceptât de nombreuses charges et accrût étrangement de la sorte son travail et ses responsabilités. Mais M. Robin avait une haute conception du devoir et adhérait en conscience à l’idéal évangélique qui oblige chaque homme à faire valoir pour le bien commun tous les talents qui lui ont été confiés. Il avait d’ailleurs raison de se presser d’agir. M. Robin est mort le 3 août 1908, âgé seulement de 54 ans. Ses obsèques donnèrent lieu à une imposante manifestation. Toute sa ville avait tenu à honorer et de témoigner hautement ses regrets et sa reconnaissance.

Ancienne Carte Postale : Cognac - Funérailles de M. Armand Robin - le 6 Août 1908

Cognac n’oubliera pas de sitôt celui qui a su lui donner sans compter de son temps, de ses forces, de ses conseils, de son argent. Une salle d’opération dont il avait doté l’hôpital tout récemment, porte son nom depuis sa mort, ainsi que la cité des maisons ouvrières à bon marché qu’il a fait construire près du boulevard du Commerce. Dans cette notice forcément incomplète, nous ne pouvons que mentionner la part active qu’il prenait aux travaux de l’Alliance Française dont il était le trésorier, ainsi qu’à la direction des Eglises Réformées de France qui, en 1907, l’avaient élu membre de leur Comité général.

Henri GERMAIN, est né à Paris en 1841. Après de bonnes études à Louis-le-Grand et à Sainte-Barbe, il entra en 1862 à l’Ecole des Mines dont il sortit en 1865.

Après un séjour à Freiberg en Saxe, il fut nommé administrateur judiciaire de la Société des Forges de la Nouvelle, en liquidation.Les Forges étaient éteintes et ne devaient pas être remises à feu, mais la Société exploitait d’importantes mines de fer dans les Pyrénées-Orientales.

Germain fut ainsi amené à résider à Prades, près de Perpignan, non loin des mines dont il surveillait l’exploitation quand le cours naturellement lent des affaires, litigieuses qu’il avait à suivre et à diriger ne le retenait pas à Paris.Il s’y trouvait précisément peu avant le siège et il n’hésita pas à y rester pour faire son devoir; il était fiancé depuis peu à Mademoiselle Julia ROBIN, de Cognac.

Germain se mit à la disposition du gouvernement de la Défense nationale et Dorian, alors Ministre des Travaux Publics, qui le connaissait, l’employa au service de la réception des projectiles et à la construction des baraquements aux fortifications ; il eut l’honneur, à cette occasion, de faire visiter à M. Thiers le fort d’Aubervilliers. Pendant ces temps difficiles, comme dans les diverses circonstances de sa carrière, Germain fit simplement son devoir et dès que les communications avec la province furent rétablies, il rejoignit sa fiancée, se maria à Cognac le 15 Avril 1871 et reprit son poste de Prades qu’il occupa encore plusieurs années.

M. Jules ROBIN son beau-père, qui avait eu l’occasion d’apprécier l’aptitude de Germain aux affaires, lui offrit alors de le prendre dans son importante maison il y entra en 1877 et en devint par la suite l’un des chefs les plus actifs et les plus autorisés.

Homme droit, modeste, affable, estimé aussi bien du monde des affaires que de tous ceux qui avaient appris à le connaître à un titre quelconque, Germain fut souvent sollicité de consacrer à la chose publique, sous une forme ou sous une autre, l’intelligence et l’activité qui avaient si bien servi ses intérêts particuliers quoique ses goûts l’éloignassent volontiers des agitations de la vie politique, néanmoins aux jours du boulangisme, il ne crut pas devoir se soustraire à l’appel de ses concitoyens et il n’eut pas à le regretter.Nommé en 1888 Président du Comité de Viticulture de Cognac, il imprima une vive impulsion à ses travaux et contribua à la reconstitution méthodique des vignobles de la région. Juge, puis Président du Tribunal de Commerce de Cognac en 1895, il remplit brillamment ces fonctions et rendit des jugements dans des procès importants, qui ont été justement remarqués ; aussi venait-il d’être confirmé dans cette charge peu de temps avant sa mort...

Sa mort, survenue à l’âge de 57 ans, le 1er Janvier 1898, a beaucoup affligé ses concitoyens et amis. Germain était essentiellement bon il faisait beaucoup de bien, discrètement, sans éclat ; non seulement il ouvrait volontiers et largement sa bourse aux malheureux, mais encore il savait donner ; il avait créé un dispensaire qu’il visitait journellement, et qui rend les plus grands services à la classe pauvre. Germain a laissé un nom aimé et respecté, et si les regrets unanimes, profonds et sincères peuvent être un adoucissement à la douleur des siens, sa bonté qui lui survit recueille la meilleure des récompenses.
Il eut pour enfants :

1) Emma Louise Marguerite GERMAIN, née à Cognac le 21 Février 1872, décédée à Paris le 24 (où le 29 selon Mme Sylvie AUBERT) Septembre 1951. Elle épousa Jacques HERRMANN, négociant en vin, né le 28 Juillet 1868, et décédé à Cognac le 12 (où le 14, selon Mme Sylvie AUBERT) Novembre 1926. Dont :

A Jean HERRMANN.
B Henri HERRMANN, il épousa Elisabeth GANDILHON, dont sont issus 10 enfants, notamment Mme Sylvie AUBERT.
C Alice HERRMANN, elle épousa le Pasteur, Jean MEDARD, dont il eurent pour descendance Hélène FILLET.

2) Amboise Jules Jacques GERMAIN-ROBIN, qui suit

Germain-Robin

I Amboise Jules Jacques GERMAIN-ROBIN, né le 16 Mars 1876. Il releva le nom de Robin, en l'accolant à celui de Germain devant le Conseil d'Etats. En 1920, il trouva à la surface du sol, dans une prairie de son domaine de Lafont (Commune de Mérignac) une statuette Gallo-Romaine. (Mérignac, deux milles ans d'histoire, page 6) Il décéda le 24 Novembre 1967 à Cognac.
Il épousa Marie VAUCHER, née à Paris le 13 Avril 1880 et décédée à Cognac le 17 Janvier 1970.
Ils eurent pour enfants :

1) Genevièvre GERMAIN-ROBIN, qui épousa en première noce Daniel LETROSME, puis en secondes noce Antoine BREGUET.
2) Yvonne GERMAIN-ROBIN, qui épousa Antoine DEJEAN.
3) Henriette GERMAIN-ROBIN, qui épousa Jean MEILLON.
4) Henri GERMAIN-ROBIN, qui suit
5) Odile GERMAIN-ROBIN, qui épousa Jean LEPEL-COINTET

1 Christine Gabrielle GERMAIN-ROBIN, marié à Alain Antoine POUSSIELGUE
2 Sylvie GERMAIN-ROBIN, marié à Jean Marie GAUBE.
3 Florence GERMAIN-ROBIN, marié à Jesse SCHUMAN OKIE.
4 Jack GERMAIN-ROBIN, qui suit.
5 Alain GERMAIN-ROBIN, marié à Françoise FAURE. Dont :

a) Sandrine GERMAIN-ROBIN, marié à Jossé GAYOSO.

6 Hubert GERMAIN-ROBIN. Il épousa Carole BOGEN. Dont :

a) Alexis GERMAIN-ROBIN
b) Raphaël GERMAIN-ROBIN

1 Edith GERMAIN-ROBIN, née le 6 novembre 1970, marié à N..., dont un fils Jules.
2 Benoît GERMAIN-ROBIN, né le 19 Mars 1974.
3 Céline GERMAIN-ROBIN, né le 26 Mai 1979.

 

Sources imprimées :
- Gérard BACHELIER "Mérignac, Deux mille ans d'histoire"  Lyon 2000, p. 107, 108, 109, 110.
- Jérome Poussielgue (Bruxelles) : Généalogie de la famille Robin et Germain-Robin.
- Maurice de Jarnac de Gardépée : La noblesse des Maires de Cognac.
- Abbé Adolphe Mondon : Notes historiques sur la baronnie de Marthon.
- Vigier de la Pile : Histoire de l'Angoumois. p. CXXXIII ; J. Sanson, p. 135
- Simon des Coustures : Nobiliaire de la Généralité de Limoges.

Sources Manuscristes :
- Archives Nationales : Base Léonore, cote N° L 2355003.
- A.D 16, cote N° 2 E 20658.

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Dernière mise à jour, le mardi 1 mars, 2005

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