Boisson


1) << d'or à 3 sapins terrassé de sinople >> (Tricoire, p. 309, qui tire ses sources de Laisné : Nobiliaire de la Généralité de la Rochelle extrait des Archives de la Noblesse)
2) D'or à trois lapins de sinople. (Simon des Coustures)
3) Nadaud donne : << d'or à 3 romarins de sinople >>

Le blason de cette famille a subi de nombreuses modifications, je pense toutes infondées. - Dans l'ouvrage de l'abbé Mondon tout d'abord : Est-ce une coquille de l'imprimeur, ou une erreur de l'abbé ? Les sapins se transforment par une erreur de copie en lapins. - Passons à l'ouvrage de l'abbé Nadaud. Lui ne parle plus de sapins ou de lapins, mais de romarins... Le dessin aurait-il été aussi mauvais pour les sapins se transforment en romarins ? pas impossible. - Brémond d'Ars, qu'en à lui fit sans doute une nouvelle erreur de copie par rapport au "romarins", car le terme pour sa description héraldique devient alors "romaine"...

Boisson, sieur de Bussac, (ou sieur de Bassac, paroisse de Roulet ? selon Nadaud )

I) Jean Boisson. Ledit Boisson étant maire d'Angoulême, est reçu conseiller par le décès de David Guilloumaud le 14 Janvier 1642, (Nadaud, indique Guilhoumeau et le mois de Février) puis échevin par la mort d'Hélie Levesquot, le 24 mai 1642. Il fit Acte, le 17 septembre, au greffe de l'élection, de vouloir vivre noblement.
M. François Pommet (Nadaud, indique Porinnet) est pourvu par le décès dudit Boisson le 13 octobre 1647. (Nadaud, indique le 31) Jean Boisson eut pour enfants :

1) Hélie Boisson. Baptistaire du 24 octobre 1639, marié le 14 juin 1657 avec Marie de La Rochefoucauld.
2) Jacques Boisson. Baptistaire du 8 décembre 1641. (Nadaud, indique 1644, mais je pense qu'il s'agit ici d'une erreur)
3) Antoine Boisson. Baptistaire du 10 décembre 1644. (Nadaud, indique le mois de Novembre)
4) Jean Boisson. Baptistaire du 26 janvier 1643. (Nadaud, indique l'année 1645. Peut-être ici, une erreur de Simon des Coutures)

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Rose Boisson, fut marraine d'Anne-Rose Méhée, demoiselle d'Ardenne, née au logis des courade le 30 Janvier 1688 et baptisée le 16 Février suivant dans l'église de Vibrac (Tricoire, p. 46)

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Jean Boisson, de Châteauneuf, acquis le 1er Mai 1450, de Perrodin et Pernauld MARTIN, frère, un << ung appent >> dépendant de la seigneurie de Mondot Gastaud (Châteauneuf) (Reçu Jean Portier l'ainé, notaire des Chatellenies de Cognac et Merpins, indication donné dans Tricoire, p.141)

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Hélie Boisson, écuyer, sieur du Breuil, demeurant en son hotel noble d'Orlut, paroisse de Mérignac en 1681 (Daniaud, notaire, A.D 16, cote N° 2 E 5935)


Clément BOISSON
, écuyer, sieur de Birac, épousa Marguerite THOMAS. (Jarnac de Gardépée, p. 200) Dont Clément qui suit.

Clément BOISSON, écuyer, sieur de Richemont et la Brouarderie, épousa le 25 Janvier 1706, Marie Fé, Baptisée, le 7 Mai 1689.

Sources imprimés :
Simon des Coustures : Nobiliaire de la Généralité de Limoges.
Abbé Joseph Nadaud : Nobiliaire du Limousin.
Abbé Gabriel TRICOIRE : Le Château d'Ardenne.
Maurice Jarnac de Gardépée : La Noblesse des Maires de Cognac.

D'or à trois sapins terrassés de sinople.

Jean Boisson, sieur de Bussac en Roullet, conseiller au présidial. Il fut maire d'Angoulême en 1642. Il a été reçu conseiller à l'échevinage par le décès de David Guilloumaud le 14 janvier 1642, puis échevin par la mort d'Hélie Levesquot, le 24 mai 1642. Il fit acte au greffe de l'élection de vouloir vivre noblement le 17 septembre 1642. M. François Pommet est pourvu par le décès dudit Boisson le 13 (ou 31) octobre 1647. Il eut au moins 3 enfants :

1) Antoine Boisson, (aliàs Hélie), baptisé le 24 octobre 1639, écuyer, sieur de Bussac. Il a d'abord été conseiller au présidial, puis procureur du roi. Il épousa le 14 juin 1657 Marie (aliàs Catherine) de La Rochefoucauld d'Orbé, et eut pour enfants deux filles :

a) N..., Boisson, épousa Pierre Galard de Béarn, seigneur de Blanzaguet.
b) Marie-Rose épousa en premières noces Jean de Lambertie, seigneur de la Chapelle, fils de Léonard, écuyer, seigneur de Marval, l'Espinassie, etc... et de Marie de Fontlebon. Elle n'en eut pas d'enfants. Veuve, elle se remaria le 3 Juillet 1700, avec Jacques-Alphée Goulard, chevalier, seigneur de Saint-Hilaire. Elle était encore qualifiée de demoiselle, lorsqu'elle fut marraine d'Anne-Rose Méhée, demoiselle d'Ardenne, née au logis des Courades le 30 Janvier 1688, et baptisée le16 Février suivant, dans l'église de Vibrac.

2) Clément Boisson, écuyer, seigneur de Birac. Il n'eut de son mariage avec N. Thomas, qu'un fils, aussi nommé Clément Boisson. Qualifié d'écuyer, il est dit sieur de Rochemont. Il épousa N. Fé de Ségeville, dont il eut plusieurs enfants. Un de ses descendants se retrouve dans la personne de Paul Boisson de Rochemont, chevalier, seigneur de Vouillac, colonel à la suite des dragons, présent sur la liste des membres de la noblesse d'Angoumois, figurant sur les procès-verbaux des Assemblées Générales et Particulières, tenues à Angoulême du 16 mars au Ier avril 1789. Il semble être mort sans postérité.
3) Jean Boisson de Boislonnier. Il n'eut qu'une fille de N. qui épousa Jean Gervais, seigneur du Châtenet.

Autres noms non rattachés :


- Jean Boisson, de Châteauneuf. Il se fit cèder le Ier mai 1450, par Perrotin et Perrauld Martin, frères, un arpent de terre, qu'ils possèdaient audit lieu d'Etaules, dépendant de la seigneurie de Mondot Gastaud.
- Le 12 novembre 1562, Jean Boisson, d'Angeac-Charente, ainsi que de nombreux autres personnages, déclarent tenir de Guillaume Gélinard, écuyer, sieur de malaville, un maine appelé "Maine d'Orte", avec ses appartenances, maisons, jardins, etc...
- Marguerite Boisson, épousa Jean Ferret, écuyer. Ils eurent pour enfant Gilles, baptisé à Grassac en 1641.

 

Nobiliaire de la Généralité de Limoges : Simon des Coustures
Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges : abbé Joseph Nadaud.
Notes historiques sur la baronnie de Marthon : abbé Adolphe Mondon.
Le château d'Ardenne : abbé Tricoire.
Histoire de l'Angoumois : Vigier de la Pile.
Liste des membres de la noblesse d'Angoumois : abbé Bureau.
Dictionnaires des familles de l'ancien Poitou : Beauchet et Filleau.

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Dernière mise à jour, le lundi 14 janvier, 2002

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